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• Protection de l’acquéreur : Si le prêt n’est pas obtenu, le contrat est résolu sans pénalité.
• Obligation légale : Pour les biens à usage d’habitation, selon l’article L313-41 du Code de la consommation.
Lien vers la loi : Article L313-41 du Code de la consommation
• Renonciation volontaire : L’acquéreur déclare ne pas avoir besoin de financement.
• Engagement ferme : Il ne peut se prévaloir de l’absence de prêt pour annuler la vente.
• Obligation d’acheter : Même sans disposer des fonds nécessaires.
• Perte du dépôt de garantie : En cas de défaillance, le vendeur peut conserver les sommes versées.
• Poursuites judiciaires : Le vendeur peut exiger l’exécution forcée ou des dommages et intérêts.
Thomas Bertoglio, Notaire à la Chambre des Notaires de Paris, avertit :
“Renoncer à la condition suspensive d’obtention de prêt est une décision lourde de conséquences. Il est essentiel d’avoir la certitude des fonds disponibles. Le notaire vous conseillera sur les implications de cette clause.”
• Institut National de la Consommation : La clause de non-recours à un prêt
• Service-public.fr : Achat immobilier : conditions suspensives
La clause de non-recours à un prêt doit être utilisée avec prudence. L’accompagnement par un notaire permet de mesurer les risques et de sécuriser votre engagement.